Les trois jours du 33e Challenge Pierre-Vas

Football
1 600 footballeurs en herbe au stade Diochon



Authentique fête de l’éducation au football et institution dans le paysage local du ballon rond, le Challenge Pierre-Vas fait son retour sur le devant de la scène. Avec quelque 1 600 participants âgés de 6 à 13 ans, le vent de la jeunesse soufflera sur le stade Diochon pendant tout le week-end de la Pentecôte.

Quinze jours après la clôture du championnat de National, le terrain d’honneur du stade Diochon va connaître un débarquement massif de jeunes footballeurs, ravis de s’approprier, le temps du week-end de la Pentecôte, la pelouse habituellement foulée par les Diables Rouges.

Ils seront environ 1 600, venus de toute la Normandie, à prendre part au Challenge Pierre-Vas, 33e du nom. En perspective, une avalanche de matches à 4 contre 4 ou 5 contre 5. Contrairement au scénario de l’année dernière, l’événement ne s’étend pas au stade Allorge mais se concentre cette fois sur le site du stade Diochon (le terrain d’honneur et les espaces de La Ferme sont mobilisés).

Les débutants ouvriront le bal samedi 11 juin (catégories U6, U7, U8 et U9). 960 joueurs en action, soit 120 équipes. Pour ces acteurs-là, les oppositions ne donnent lieu à aucun classement. Le lendemain, place aux poussins (U10 et U11) : les 32 équipes engagées disputeront un tournoi. Les benjamins (U12 et U13) en feront de même lundi 13 juin.

L’esprit fair-play plane sur le Challenge Pierre-Vas, qui rassemble chaque année les footballeurs de demain, leurs formateurs et leur famille. Tout un chacun peut librement assister aux évolutions des enfants. Les spectateurs sont les bienvenus, au même titre que toute personne qui voudrait renforcer les bénévoles assurant l’encadrement de ces trois journées.

Les matches s’enchaîneront de 9h30 à 17h30. Remise des récompenses à partir de 18 h (une médaille souvenir pour tous les participants, un coupe pour chaque équipe, des équipements maillot-short-bas pour les 4 premiers chez les poussins et pour les finalistes chez les benjamins.

(Photo : DR)